Du 17 octobre au 8 novembre 2025, le Maroc accueillera la Coupe du monde féminine U17 de football. Un événement majeur qui dépasse le cadre sportif pour s’inscrire dans une dynamique culturelle et sociale. Héritières de femmes amazighes qui protégeaient la tribu, les jeunes joueuses incarnent aujourd’hui une nouvelle forme de courage et d’engagement.
Le tirage au sort ayant eu lieu le 4 juin 2025 à Rabat, le calendrier officiel est désormais dévoilé. La compétition se déroule du 17 octobre au 8 novembre 2025, avec un match d’ouverture entre le Maroc et le Brésil au Stade Olympique. Le calendrier officiel des matchs, publié par la FIFA dans un PDF, est disponible via ce lien pour suivre la compétition jour par jour plus facilement.
Le tournoi se jouera dans six villes, chacune symbole du patrimoine marocain :
Capitale politique et culturelle, elle allie histoire (Tour Hassan, Oudayas) et modernité.
Ville économique, dynamique et cosmopolite, avec le stade Mohammed V comme temple du football.
Médina classée à l’UNESCO, capitale spirituelle du Maroc, incarnation de la mémoire vivante.
Ville touristique mondiale, entre patrimoine architectural et ambiance festive.
Ville portuaire et internationale, carrefour entre Afrique et Europe.
Ville balnéaire et amazighe, symbole de modernité et d’ouverture.
Le football féminin n’est pas seulement une pratique sportive, mais une continuation de l’héritage social :
La Coupe du monde U17 féminine au Maroc est bien plus qu’un événement sportif. Elle incarne une continuité entre l’héritage social des femmes marocaines d’hier et leur rôle actuel sur la scène mondiale. À travers le football, elles perpétuent leur mission de gardiennes de l’identité et ambassadrices de la nation.
👉 Pour comprendre les racines de cet héritage, découvrez notre article sur le rôle des femmes dans la tribu marocaine précoloniale.
Docteur en langues et communication et titulaire d'un master en tourisme et communication. J’ai eu l’occasion de développer l’expertise dans le domaine de la communication touristique. J’ai mené des recherches en ingénierie touristique et en développement du tourisme culturel.